« Nous avons enfermé nos rêves dans un moule rectangulaire, fait de 4 murs plus ou moins grands, plus ou moins hauts, coiffés d’une magnifique ceinture nommée margelle. Ouvrons l’espace, écrasons cela, poussons les murs, couchons-les, jusqu’à ne plus avoir qu’un espace libre, sans obstacle non naturel. L’œil doit parcourir sans se heurter, tout doit être doux, se fondre dans un paysage existant et donner l’illusion d’avoir toujours été là, se dire que l’on n’a rien imaginé d’autre, à cet endroit.
La vraie victoire est là. Il manquait ça, là. Même dans mes souvenirs les plus profonds, il n’y avait pas d’avant, c’était depuis toujours… là !!! »